Que mes guerres étaient belles !
Jacques Vergès
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurJacques Vergès, l'avocat de Klaus Barbie et de Khieu Samphan entre autres, nous fait entrer dans les minutes des grands procès historiques. Ainsi lors de la première manifestation d'une justice internationale à Nuremberg, en 1945 qui rhabille la culpabilité aux couleurs de la guerre froide. À cet égard, un dialogue imaginaire, entre Staline et Hitler, revient sur la véritable raison du pacte des Alliés avec l'URSS. Puisque c'est l'agression nazie qui aurait réveillé l'espoir de libération des colonies, en affaiblissant l'Europe. Le procès des activistes du FLN, en 1957, devient alors une tribune pour l'indépendance algérienne. Mais dès 1954, la chute de Diên Biên Phu a consommé cette fin de règne de l'Occident à part entière... Déjà annoncée au procès de Louis XVI. Qu'instruit le révolutionnaire Saint-Just, au tournant de l'histoire moderne. Pour Jacques Vergès, c'est l'occasion de revenir sur les causes extrêmes pour lesquelles il n'a cessé de plaider. Et de ressusciter le visage des disparus, confrères et compagnons, tombés à ses côtés en rendant hommage à la grandeur de leur humanisme. |
RésuméJacques Vergès, plaideur des causes extrêmes, se penche ici sur son métier ponctué par les évènements historiques (Seconde Guerre mondiale, guerre d'Algérie) auxquels il a pris une part active. Des notions-phares tracent le cadre de son récit : anticolonialisme, lutte contre la torture, respect des droits de l'homme, etc. Il se proclame avocat des hommes, ni avocat de gauche, ni avocat de droite. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
5 avril 2007
Rayon
Actualité : sujets généraux
EAN
9782268060989
Nombre de pages
193
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.7
cm
Poids
213
g
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