Nos devenirs spinoziens : fraternels et anarchistes
Pierre Ansay
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurNos devenirs spinoziens, fraternels et anarchistes Ni dieux ni maîtres ? Il n'y a plus de dieux providence, ni de maîtres vraiment légitimes. Il reste des prêtres et davantage de tyrans. Dès lors, Spinoza est-il un penseur fraternel pour ceux qui vivent sans dieux et luttent contre les tyrans, les maîtres et leurs machines de contrôle ? Spinoza propose-t-il davantage que des leçons de sagesse individuelle ? Est-il, en hybridation avec Marx et le retour des pratiques anarchistes, un penseur pour changer généreusement et collectivement notre temps ? Au-delà de la crise morale et politique de la gauche instituée, on découvre, avec lui et ses cousins parfois oubliés, de nouvelles manières de penser, de se tenir ensemble et d'agir. La fraternité critique est ce qui nous reste quand le programme anarchiste, ni dieux ni maîtres, se réalise selon des scénarii qu'on n'avait pas vraiment prévus. Pierre Ansay a relevé le pari de pister et de mettre en regard les avancées d'auteurs aussi divers que Pierre Leroux, Pignarre et Stengers, Barber, Orwell et Lordon. A les suivre, on n'en a pas fini avec Spinoza et l'incroyable fécondité anarchisante de sa pensée politique. |
RésuméCet essai tente de mettre en évidence les références anarchistes dans l'oeuvre politique de Spinoza présentée comme une proposition de démocratie intégrale et impérative, comme une négation des fausses transcendances, des faux miracles, de la superstition et des prêtres qui la véhiculent. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 novembre 2013
Rayon
Baruch Spinoza
EAN
9782870036372
Nombre de pages
190
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
cm
Poids
260
g
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