La politique du travail et la politique des privilèges
Jean-Baptiste André Godin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurAprès la déroute du Second empire, Godin pense que dans la nouvelle République, la Troisième, il pourra généraliser son concept d'Association (construction du Familistère de Guise) pour éradiquer la pauvreté qui frappe le peuple et lui rendre «les équivalents de la richesse». Il avait déjà exposé cette idée pendant la Constituante de 1848, en vain, le coup d'état de Louis-Napoléon Bonaparte sabrant tous les espoirs de réformes sociales. En 1870 mais surtout après les élections de février 1871, remportées par les pires réactionnaires que la IIIe ait connus et commençant par un massacre, Godin échouera de nouveau à construire les fondations d'une société réformiste, une république sociale, pacifiste et universelle. Mais Godin n'abandonnera pas l'idée : un élu doit légiférer pour le bonheur du peuple, le bien commun et uniquement cela. C'est l'esprit de cet ouvrage. |
RésuméL'auteur dresse un bilan critique du second Empire et plaide pour une politique de l'élu du peuple, socialiste, oeuvrant pour le bien commun. De nos jours, signale l'éditeur dans une note introductive, le titre de ce livre paru en 1877 serait plutôt : "Politique sociale & équilibre économique" ou encore "logique du capital, des lobbies...". ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
27 juillet 2009
Rayon
Politique
Contributeur(s) Victor Poupin
(Préfacier) EAN
9782903383855
Nombre de pages
84
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
0.7
cm
Poids
200
g
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