La voyageuse de Zagreb. Les sidérantes : l'alchimie de l'amour : romans

Ce que dit l'éditeur

La vovageuse de Zagreb

En pleine tempête de neige, un couple en rupture se réfugie dans un palace, à Zagreb, où une équipe de cinéma prépare un tournage. La sensualité de la jeune femme provoque le trouble. « Descendez-moi, je vous en supplie. Je meurs de froid ! Cette voix de femme brisa le ronronnement de la Panavision. Ce n'était pas celle de Doria la script-girl. Je me retournai et saisis instinctivement un bras sorti d'une fourrure qui battait l'air. Dix mètres plus bas Stella s'écrasait sur Markovitch, le premier assistant. C'était la jeune femme à la Ferrari ! - Stronzo ! lâcha Tino en faisant pivoter la caméra.

Les Sidérantes- - Tu n'as que ce mot à la bouche : Moi, Moi... Toujours moi. Mais c'est lui qui m'a dit qu'il m'aimait ! Il disait qu'il m'aimait comme ça, sans faux cils, sans rouge à lèvres, poilue ! - Et tu l'as cru ? - Il m'a dit que mon côté sauvage l'excitait : la nature, les bois, les prairies... faire l'amour en plein air dans les foins... - C'est ça, avec les vaches, les veaux, les poulets et les dindons. Il t'a prise pour une ferme quoi... Laisse-moi rire, Amélie ! - C'est bien son droit, à lui, s'il m'aimait en sauvageonne ! - Sauvageonne ! Une plume dans le cul ! Tu sais... L'Amour vache... oui !