La passe
Antoinette Dilasser
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Comprendre qu'il n'y a personne d'autre que moi dans cette maison où nous avons été deux. Et que ça va durer. Que cette chose-là nous est arrivée. Que les choses qui arrivent en ce monde ne sont pas réversibles. » La passe est le journal d'un deuil, double deuil en quelque sorte ou deuil impossible, puisque le compagnon qu'Antoinette Dilasser a aimé et soutenu, l'immense peintre si peu bavard auquel elle a donné ses mots, n'est pas mort : il vit dans une maison pour malades qui ont oublié qui ils sont. « Le roi a perdu sa couronne » et l'épouse note les événements du quotidien, les souvenirs d'une existence commune toute vouée à la peinture, les réflexions sur la marche du monde - sans jamais forcer le sens, sans chercher à obtenir de consolantes réponses. Ce texte, traversé de part en part par la crainte et la tendresse, dit l'amour de la peinture, un peu, l'amour inépuisable de la vie, beaucoup, et travaille à accueillir calmement l'inéluctable. |
RésuméA. Dilasser relate le deuil qu'elle doit faire de son compagnon, peintre qui vit maintenant dans une maison pour malades qui ont oublié qui ils sont. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 janvier 2012
Rayon
Littérature française
EAN
9782868535740
Nombre de pages
209
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
15.0
cm x
1.5
cm
Poids
314
g
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