La société de surveillance, stade ultime du libéralisme
Guillaume Travers
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa société de surveillance, stade ultime du libéralisme La société de surveillance qui se met en place scelle-t-elle la fin du projet libéral de « société ouverte » ? Non, répond Guillaume Travers, elle en est au contraire l'aboutissement logique. C'est la raison pour laquelle les libéraux promouvront tôt ou tard toutes les méthodes techniquement possibles de contrôle social : puçage des populations, reconnaissance faciale, modifications géniques, 5G, etc. Pour éclairer ce paradoxe, il faut revenir aux sources de la conception libérale de la liberté, et mettre en lumière ses impensés. Ce à quoi s'attache cet essai. Face à la liberté abstraite des libéraux, il appelle à retrouver une conception classique de la liberté, qui a prévalu tant dans le monde antique que médiéval - et pas sa falsification orwellienne. |
RésuméPrenant le contre-pied de l'idée selon laquelle la surveillance généralisée scellerait la fin du projet libéral de société ouverte, l'auteur prône qu'il s'agit au contraire de l'aboutissement du libéralisme. Il appelle à retrouver une conception plus classique de la liberté en se départissant des méthodes émergentes de contrôle social. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
1 octobre 2021
Collection(s)
Dans l'arène
Rayon
Éthique et politique
EAN
9782491446673
Nombre de pages
93
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
12.0
cm x
0.7
cm
Poids
135
g
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