Finis-le ! : d'Hector Pieterson à Rémi Fraisse : violence policière, violence d'Etat

Ce que dit l'éditeur

Finis-le !

Mot terrible lancé par un gendarme alors que blessé par balle, Kaled Kelkhal gisait au sol.

Vous vous êtes indignés, et après ?

D'Hector Pieterson à Rémi Fraisse, la violence policière signe le pouvoir de l'Etat qui se maintient toujours par la force. L'Etat de droit n'a jamais existé nulle part en Eurasie.

Scrutant la violence policière, l'auteur analyse la construction de la société européenne depuis la guerre de cent ans jusqu'à nos jours.

« Dès qu'une voix murmure pour dire qu'il faudrait "sauver" la planète, l'objection incontournable des plus futés d'entre les tenants de la modernité, sincères défendeurs de l'évolution fuse : alors, vous vous voulez que nous revenions à la bougie ?

Mais non, sacré malin, il faut revenir à RIEN, car dans tous les cas, c'est vers Rien que nous courons.

Il y a un peu plus de 110 000 ans, un peuple humain l'avait compris et réagi, trop tard certes mais réagi.

Devenez donc cet outil qui mettra fin à toutes les souffrances humaines qui parcourent la terre du nord au sud, d'est en ouest... devenez humain et rien d'autre, car la nature n'a jamais dit qu'elle était d'accord pour assouvir nos gabegies sans en souffrir ».