Le testament breton : récit
Philippe Le Guillou
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe testament breton « J'ai écrit ces pages au Faou, dans une solitude et une réclusion totales, cet étrange printemps de 2020 où le gouvernement nous intimait l'ordre de nous claquemurer et de limiter nos sorties à l'essentiel. Oui, j'ai écrit alors qu'un virus venu de Chine se propageait en France et provoquait plusieurs dizaines de milliers de morts, avec, sous les yeux, les palmiers du jardin de Kerrod, l'église des marées, la ligne des collines qui cachent la vallée de l'Aulne, les taillis et les bois, d'un vert magnifique, et dont la prolifération incontrôlée occupera bientôt tout le paysage. C'était le mouvement même, mémoriel et sensible, qui avait donné Les marées du Faou et L'intimité de la rivière, ce retour amont qui me livrait, avec une incroyable acuité, des réminiscences enfouies, des odeurs, des anecdotes, et même des patronymes. Je devenais soudain l'enfant de Kerrod écoutant les récits de son grand-père, rêvant l'engloutissement d'Ys, se heurtant au silence de l'autre grand-père et au mystère de son bateau disparu... » |
RésuméPrintemps 2020. P. Le Guillou est confiné au Faou où il avait précédemment écrit Les marées du Faou et L'intimité de la rivière. Il livre ici ses impressions, ses souvenirs d'enfance et l'influence de la Bretagne dans ses écrits. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
7 avril 2022
Collection(s)
Blanche
Rayon
Littérature française
EAN
9782072968754
Nombre de pages
152
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.4
cm
Poids
212
g
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À propos de l'auteurPhilippe Le Guillou est un écrivain prolifique dont les sources d'inspiration sont les légendes celtes et le christianisme. Son écriture de facture classique évoque celle de Julien Gracq dont il est grand admirateur et auquel il a consacré plusieurs essais. |