Les derniers moments de la vie : soins palliatifs, accompagner jusqu'au bout, dons d'organes, euthanasie, acharnement thérapeutique, besoins spirituels des mourants, dignité humaine et chrétienne
Dionigi Tettamanzi
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe cardinal de Milan, Dionigi Tettamanzi, signe ici un des quatre volets de son oeuvre de référence sur la bioéthique. Ce livre fait le point sur les débats qui touchent la question de la mort dans le monde contemporain. L'ouvrage apporte tout d'abord une étude précise des questions soulevées par les greffes d'organes et examine les contextes dans lequels elles peuvent être pratiquées dans l'intérêt de la personne humaine, aussi bien pour le donneur que pour le receveur. Il pose ensuite les termes du débat sur la souffrance de fin de vie et sur les moyens de la soulager, en faisant une distinction entre aide médicale et acharnement thérapeutique. Ces questions conduisent vers un sujet plus vaste et plus brûlant: l'euthanasie. En toute clarté, le cardinal Tettamanzi expose les données les plus récentes de la bioéthique et présente la doctrine de l'Église sur ces sujets en soulignant à chaque fois le respect dû à la personne humaine. Ce livre offre ainsi des clés de compréhension construites et pertinentes pour les débats du xxie siècle. |
RésuméPropose des réflexions chrétiennes sur l'accompagnement des personnes en fin de vie qui s'appuient sur les textes de lois et une analyse du contexte actuel. Aborde le problème des greffes d'organes, de l'archarnement thérapeuthique et de l'euthanasie. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 novembre 2004
Collection(s)
Nouvelle bioéthique chrétienne
Rayon
Bioéthique chrétienne
Contributeur(s) Christine Barbacci-Marotta
(Traducteur) EAN
9782706703751
Nombre de pages
280
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.0
cm
Poids
348
g
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À propos de l'auteurDionigi Tettamanzi a longtemps été considéré comme papabile car le pape Jean-Paul II, qui le tenait en haute estime, l'a fait accéder aux plus hautes responsabilités. Mais son discours social et ses prises de position en faveur des pauvres, notamment lors du G8 de Gênes en 2001, lui ont fait préférer Josef Ratzinger conclave de 2005. |