Les choses humaines
Karine Tuil
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce qu'on en penseClaire et Jean Farel forment un couple influent et l'illusion d'une famille parfaite. Leur fils, brillant étudiant à Stanford en Californie est accusé de viol le lendemain d'une soirée étudiant. C'est la descente aux enfers. Un brillant livre dénonce une société de performance et la violence des réseaux sociaux. Inspiré par l'affaire Stanford en 2015. Véritable page-turner ! |
Ce que dit l'éditeurLes choses humaines Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale. Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au coeur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs. Car qui est à l'abri de se retrouver un jour pris dans cet engrenage ? |
RésuméJean Farel, célèbre journaliste, forme avec Claire, femme de lettres, un couple de pouvoir. Mais leur réussite n'est qu'une mystification puisque chacun mène une double vie. Au lendemain d'une soirée, Mila, la fille de l'amant de Claire, accuse Alexandre, leur fils brillant et séduisant, de l'avoir violée. Prix Interallié 2019, prix Goncourt des lycéens 2019. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
22 août 2019
Collection(s)
Blanche
Rayon
Littérature française
EAN
9782072729331
Nombre de pages
341
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.3
cm
Poids
360
g
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À propos de l'auteurKarine Tuil a toujours voulu écrire, son amour de la littérature éveillé dès l'enfance par une mère lectrice boulimique. Son neuvième roman, L'invention de nos vies, fondé sur l'imposture, un des thèmes récurrents de son oeuvre, s'affirme comme la sensation de la rentrée littéraire 2013. |