Ambassadeur des bêtes

Ce que dit l'éditeur

Ambassadeur des bêtes

Dans ce dernier opus, Grey Owl poursuit sa mission, celle d'alerter l'opinion publique sur les problèmes écologiques dont il est le témoin.

Nous sommes en 1936, Grey Owl revient quelques années en arrière sur ses fonctions au service des parcs nationaux du Canada. De Beaver Logde - dans le Mont-Riding - au lac Ajawaan - parc national Prince Albert -, Grey Owl se concentre ici sur son rôle d'ambassadeur des bêtes. Un film se tourne sur les deux castors qui l'accompagnent à ce moment, il reçoit des visiteurs, les sensibilise à la préservation de la nature et des animaux...

On sent poindre dans ces pages la nostalgie d'une vie passée, faite de trappes et de pistes, d'aventures en pirogues sur les rivières tumultueuses du Grand Nord.

Cet ouvrage a été couronné de succès et a fait de Grey Owl une personnalité remarquée. Suite à sa parution, il part pour de longues tournées de conférences qui rassemblent des milliers de participants fascinés par son discours pour le respect de l'identité indienne, de la faune sauvage et des milieux naturels.

« Et maintenant, lecteur, si vous avez le coeur solide et l'âme forte devant les petits ennuis et si vous n'avez peur ni du grand vent ni du grand soleil ; si vous voulez goûter des nuits sous la tente, avec une litière de broussailles embaumées pour matelas et des repas en plein air avec le sol pour fauteuil, enfin - et surtout - si vous avez le sens de l'humour, nous allons entreprendre ensemble le voyage sur cette furibonde Impératrice des Rivières. » Grey Owl.