Des armes contre la chute : rêveries guerrières

Ce que dit l'éditeur

· On dit que la France tombe... C'est vrai: son déclin, amorcé à Waterloo il y a bientôt 2 siècles, s'est accéléré avec l'effondrement de 1940, dont l'Etat-Major de l'époque fut le grand coupable par défaut d'Imagination créative.

· C'est en effet de cette défaite militaire que résultèrent notre perte d'influence politique, littéraire, artistique, scientifique et le recul de notre langue dans le Monde.

· En 1515, la victoire à coups de couleuvrines du jeune roi François sur l'infanterie à piques des Cantons, alors la première armée d'Europe, nous avait apporté les Beautés de la Renaissance italienne au bénéfice ultérieur de notre Grand Âge classique.

· A l'inverse, c'est la victoire américaine de 1945 à relativement peu de pertes humaines - dix fois moins que la France dans cette guerre à égalité de population - qui nous vaut aujourd'hui la «botte culturelle» des Etats-Unis, empire dont le propre déclin a pourtant déjà commencé.

· L'auteur prétend que l'un des moyens d'arrêter la «chute» - la nôtre propre comme celle de l'Europe - est de se forger des armes enfin révolutionnaires, surtout quant à leur emploi, s'ajoutant à celles nucléaires. L'une, entre autres, pourrait être le Frappeur - alias Striker, système naval pour l'Âge des Réseaux dont la Marine des Etats-Unis, contrairement à une Marine Nationale réticente, tient compte dans ses programmes depuis 1995, la nationalité française de son initiateur nonobstant.