Cause animale, cause du capital
Jocelyne Porcher
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurPour le bien des animaux, celui de la planète et pour préserver notre santé, il faudrait de toute urgence renoncer à l'alimentation carnée voire à tous les produits animaux et, en clôturant dix mille ans de vie commune avec les vaches et les brebis, librement consentir à une agriculture sans élevage. Après des décennies de silence médiatique et politique sur la violence industrielle contre les animaux, pourquoi cette soudaine prise de conscience ? C'est en reprenant le fil de l'industrialisation de l'élevage depuis le XIXe siècle et ses liens historiques avec la « cause animale » que l'on peut comprendre la situation actuelle et le développement des start-up de la « viande propre », amie des animaux et des milliardaires. La science et l'industrie, aujourd'hui comme hier, concoctent pour nous « un monde meilleur ». Sommes-nous bien sûrs qu'il correspond à nos désirs ? |
RésuméUn essai sur la convergence d'intérêts entre la science, l'industrie agroalimentaire et les promoteurs de la cause animale. L'auteure montre que la cause animale est totalement différente de la cause des animaux, dénonce l'agriculture cellulaire, créatrice de viande in vitro, et propose de redéfinir l'élevage, seule alternative à la violence contre les animaux en systèmes industriels. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
11 septembre 2019
Collection(s)
Documents
Rayon
Éthologie
EAN
9782356876553
Nombre de pages
115
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
0.9
cm
Poids
140
g
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