Léger et le cinéma
François Albera
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLéger et le cinéma Le peintre Fernand Léger est aussi cinéaste et théoricien du cinéma. Lui qui confessait avoir été tenté d'abandonner la peinture pour le cinéma n'est pas seulement un spectateur passionné et l'interlocuteur d'Epstein puis d'Eisenstein. Il est l'auteur d'un film d'avant-garde, Le Ballet mécanique (1924). Il a collaboré à des films comme décorateur, costumier et affichiste. Il a été le sujet de documentaires. Il a réalisé un sketch dans le film collectif de Hans Richter, Dreams that Money Can Buy (1947) aux côtés de Man Ray, Max Ernst, Alexandre Calder. Il a rédigé des scénarios qui ne virent pas le jour. Il a écrit des articles sur le cinéma. Et dans toute sa démarche artistique la place du cinéma est prégnante, introduisant la question du mouvement. C'est pourquoi il s'est autant intéressé au cinéma d'animation qu'à la prise de vue « réelle ». Jusque dans son écriture se repère en effet cette conception qu'on peut appeler, selon la formule d'Eisenstein : cinématique. |
RésuméUne étude sur les liens qu'entretient le peintre avec le cinéma. Spectateur passionné et interlocuteur de J. Epstein et S. Eisenstein, il est également l'auteur d'un film d'avant-garde, Le ballet mécanique, et collabore à des longs métrages en tant que décorateur, costumier ou affichiste. En 1947, il réalise un sketch pour le film collectif Dreams that money can buy. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
23 juin 2021
Collection(s)
Le cinéma des poètes
Rayon
Spectacle, cinéma
EAN
9782376280903
Nombre de pages
107
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
12.0
cm x
0.9
cm
Poids
100
g
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