Comment j'ai tué son père
Martin Hirsch
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurImaginez que vous vous réveillez un matin, vous allumez la radio, vous entendez que vous êtes un assassin, que vous avez tué une personne dont vous ne soupçonniez pas même l'existence. Quelle est l'arme de votre crime ? L'instrument de lutte contre la pauvreté que vous avez créée, dix ans plus tôt, contre vents et marées. Qui est l'accusateur ? Un jeune écrivain à succès dont vous aviez jusqu'alors apprécié les premiers ouvrages. C'est ce qui est arrivé à l'auteur, au printemps 2018. Martin Hirsch a choisi de riposter par un roman original et une fausse légèreté. En prenant le ton d'une confession et en utilisant les ressorts d'un thriller, avec comme décor le Café de l'Avenir à Ruchicourt et le rond-point du Sacré René, il nous propose de revisiter la création du RSA et l'acte de naissance des gilets jaunes. Et dans l'histoire, la victime n'est peut-être pas celle qu'on croit. |
RésuméA Ruchicourt, la pauvreté est forte, l'emploi est éloigné et les politiques publiques sont très faibles. Le récit des parcours des personnages de ce village imaginaire est le prétexte à une réflexion plus large sur l'histoire du revenu de solidarité active, mais aussi sur l'usage de la fiction pour la défense d'une thèse. Cet ouvrage est une réponse au texte d'Edouard Louis Qui a tué mon père. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
27 février 2019
Collection(s)
Bleue
Rayon
Littérature française
EAN
9782234086517
Nombre de pages
187
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.7
cm
Poids
240
g
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À propos de l'auteurMartin Hirsch, normalien et énarque, s'est très tôt engagé dans l'humanitaire et a été de longues années président d'Emmaüs-France. Il est ensuite devenu Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté puis président de l'Agence du service civique. |