Proférations de la viande
Michaël Glück
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurProférations de la viande Une lave sans ponctuation, avec voyages par routes et trains, et se jeter aussi dans la langue des autres, mais où toute l'histoire et la violence du présent bruissent. Une colère et une rage qui viennent s'incarner par le chant et le rythme, que ça s'appelle beauté, mais inclut à égale surface les villes, les voyages, la folie. Un poème d'une seule filée de prose, 4 parties violentes, brutales même. La vie y est parfois arrêtée : le narrateur parle de la mort traversée, de la plaie des jours, des attentes, du corps. Mais que c'est tout le destin et le plus obscur d'un présent en vertige dont alors l'écriture peut se saisir. Les vieux prophètes de la Bible le savaient. Ici, on ne quitte pas l'expérience quotidienne, on s'en va voir ce qui traîne sur le sol de la gare de Maubeuge, s'il faut conjurer tout lyrisme vide. Mais c'est bien ce vieux fil de la voix dressée qu'une fois dans sa vie il est bon de pousser à l'excès jusqu'où il nous devient chose commune. |
RésuméPoème en prose en quatre parties dans lesquelles le narrateur parle de la mort traversée, exprime la violence du monde, la souffrance du corps. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
2 février 2017
Collection(s)
L'inadvertance
Rayon
Poésie et théâtre
EAN
9782371774827
Nombre de pages
62
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
0.4
cm
Poids
86
g
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