Correspondance avec Mircea Eliade : 1961-1986
Mircea Eliade , Henry Pernet
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe 21 février 1961, le jeune étudiant suisse Henry Pernet envoie quelques livres au célèbre historien des religions Mircea Eliade pour se les faire dédicacer. Le 15 mars 1986, Mircea Eliade prie Henry Pernet de lui faire parvenir, pour sa femme malade, un médicament introuvable aux Etats-Unis. En vingt-cinq ans, 166 lettres seront échangées entre l'admirateur suisse et le monstre sacré roumain. Elles sont éditées dans ce volume qui évoque ainsi un quart de siècle de la vie de Mircea Eliade par les prismes de l'amitié et du débat autour de la discipline de l'histoire des religions. Elles montrent la générosité et la patience remarquables d'Eliade à l'égard de son futur élève, protégé et collaborateur, sa tolérance pour la contestation, et sa fidélité tant en amitié qu'à l'égard de son oeuvre. Ces lettres révèlent aussi les coulisses du travail éditorial autour de l'oeuvre de Mircea Eliade. Enfin, elles dépeignent la personnalité d'un géant de l'histoire des religions via ses relations avec quelques grands penseurs et avec un correspondant généreux et créatif mais critique d'une oeuvre traçant le sillon d'une discipline encore en devenir. |
RésuméLes 166 lettres reproduites dans ce livre racontent les relations entre Mircea Eliade, considéré comme l'un des fondateurs de l'histoire des religions, et un étudiant, Henry Pernet, qui deviendra un ami et un de ses éditeurs en français. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
30 mai 2012
Collection(s)
Religions en perspective
Rayon
Mircea Eliade
Contributeur(s) Philippe Borgeaud
(Préfacier) EAN
9782830914528
Nombre de pages
285
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
15.0
cm x
2.4
cm
Poids
423
g
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À propos de l'auteurMircea Eliade est un intellectuel roumain installé en France après la 2nde guerre mondiale, spécialiste de l'histoire comparée des mythes et des religions. Il a étudié toute les religions et n'a pas hésité à apprendre l'hébreu, le persan et le sanskrit, ce qui lui a permis de traduire des textes sacrés qui ne l'avaient jamais encore été. |