François Forestier 1940-1945 : premier chef d'état-major de l'Armée secrète - Michel F. Morin

François Forestier 1940-1945 : premier chef d'état-major de l'Armée secrète

Michel F. Morin

Lacour-Ollé | décembre 2003
17.10 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
18.00 €
Disponibilité en ligne
Indisponible

Ce que dit l'éditeur

François Forestier traverse l'ensemble de la Résistance. A Paris dès le 11 novembre 1940, puis en zone nord, aux côtés du réseau « Musée de l'Homme », ensuite à « Combat Nord », jusqu'à leur anéantissement auquel il échappe de justesse début 1942. Passé en zone sud, il prend immédiatement les fonctions de responsable militaire du mouvement « Combat », puis de premier chef d'Etat Major de l'Armée secrète jusqu'à son arrestation, le 15 mars 1943. Il est incarcéré à Lyon dans la même cellule que Serge Ravanel, et Raymond Aubrac, qui, avec son épouse Lucie, parvient à le faire évader le 24 mai. Il est évacué trois mois plus tard par avion vers Londres, où, à la demande de Frenay, il dirigera jusqu'en 1945 la « Délégation » des mouvements de résistance, Résistance dont il devient ainsi un porte-parole, et « un observateur privilégié » (H. Noguères), alors même que se mettent en place les acteurs de la Libération.

Résumé

F. Forestier traverse l'ensemble de la Résistance. A Paris dès le 11 novembre 1940, puis en zone nord aux côtés du réseau Musée de l'Homme, ensuite à Combat Nord. Passé en zone sud, il prend les fonctions de responsable militaire du mouvement Combat, puis de premier chef d'état-major de l'Armée secrète jusqu'à son arrestation en 1943. Il parvient à s'évader avec l'aide de R. et L. Aubrac. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)
Éditeur(s)
Date de parution
4 décembre 2003
Rayon
Biographies
Contributeur(s)
Raymond Aubrac (Préfacier)
EAN
9782750403546
Reliure
Broché
Dimensions
21.0 cm x 15.0 cm x cm

Du même auteur : Michel F. Morin