Objection de conscience et droits de l'homme
Grégor Puppinck
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe droit à l'objection de conscience apparaît comme un monstre juridique de plus en plus revendiqué. Témoin de l'ampleur du phénomène, la Cour européenne des droits de l'homme est régulièrement saisie du cas de personnes qui, au nom de leur conscience, refusent d'accomplir le service militaire, de prêter serment sur la Bible, de siéger dans un jury, de collaborer à un avortement, de faire vacciner leurs enfants, etc. Une clarification de la notion d'objection de conscience s'impose donc, non pas pour étendre son champ d'application au point de la rendre indéfendable, mais au contraire pour mieux le définir afin qu'elle puisse être garantie dans une juste mesure. Dans une société qui a renoncé, au moins partiellement, à la conviction publique qu'il existe un bien objectif, se refuser à accomplir ce travail de réflexion reviendrait à renoncer à la rationalité de la justice et à se résigner à l'arbitraire. |
RésuméDevant l'augmentation des recours dont la Cour européenne des droits de l'homme est saisie, à l'initiative de personnes qui refusent d'accomplir le service militaire, de prêter serment sur la Bible, de siéger dans un jury, de collaborer à un avortement ou encore de vacciner leurs enfants au nom de leur conscience, l'auteur s'efforce de définir et de clarifier la notion d'objection de conscience. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
13 novembre 2020
Rayon
Humanitaire, droits de l'homme
EAN
9782740323083
Nombre de pages
172
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.2
cm
Poids
216
g
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