Notre ennemi, le capital : notes sur la fin des jours tranquilles
Jean-Claude Michéa
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurNotre ennemi, le capital Si l'on veut réellement rassembler la grande majorité des classes populaires autour d'un programme de déconstruction graduelle du système capitaliste (et non pas simplement accroître ses privilèges électoraux), il faut impérativement commencer par remettre en question ce vieux système de clivages fondé sur la « confiance aveugle dans l'idée de progrès », dont les présupposés philosophiques de plus en plus paralysants (du type « parti de demain » - celui de la Silicon Valley - contre « parti d'hier » - celui de l'agriculture paysanne ou de la culture du livre ) ne cessent d'offrir depuis plus de trente ans à la gauche européenne le moyen idéal de dissimuler sa réconciliation totale avec le capitalisme sous les dehors beaucoup plus séduisants d'une lutte « citoyenne » permanente contre toutes les idées « réactionnaires » et « passéistes ». |
RésuméLe philosophe considère que, pour avancer dans la dénonciation du capitalisme et rassembler la grande majorité des classes populaires, il faut commencer par remettre en question le système de clivages opposant l'idée de progrès à celle de conservatisme, clivages paralysants qui permettent à la gauche européenne de dissimuler sa réconciliation avec ce même capitalisme. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
11 janvier 2017
Rayon
Éthique et politique
EAN
9782081395602
Nombre de pages
313
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.2
cm
Poids
330
g
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